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C’est un message que les femmes, qui sont actuellement dans les rues, veulent envoyer à tous ceux qui taxent le Parti national panafricain (PNP) et son président, Tikpi Salifou Atchadam, d’être des jihadistes.
« Le PNP n’est pas jihadiste. Même ceux qui soutiennent le contraire en savent bien plus », lit-on sur une des banderoles brandies par les femmes.
Pour ces femmes, le régime de Faure Gnassingbé doit arrêter de dénigrer cette formation politique qui est devenue sa bête noire aujourd’hui.
« Entre ceux qui maintiennent tout un peuple dans une pauvreté extrême et ceux qui luttent pour libérer ce peuple, qui sont les jihadistes ? », demande une femme, convaincue que les terroristes se trouvent dans l’autre camp.
Plusieurs autres messages sont brandis par ces femmes sur des pancartes. Des messages qui restent hostiles au pouvoir en place.-
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