La théorie de l'esclave de la maison contre celui du champ: L'histoire nous rappelle de récit sur nos grands-parents emportés de forces sur une nouvelle terre. Bien à l'idée qu'ils étaient perdus, ils rêvaient de revenir sur la terre de leurs aïeux, là où leurs placentas furent enterrés sous un arbre qui déterminait l’âge, la génération et le mystère. Au fur les années passent, à mesure les idées se diversifiaient. De même que les traitements réservés à chacun d’eux. Mais ils n'ont jamais oublié le retour à la terre mère.
Ainsi, deux catégories d'esclaves se dégageaient: ceux que l'oppresseur gardait pour les travaux ménagers et ceux qui étaient condamnés aux travaux champêtres. C'est ainsi que les discours, les conditions de vies et de travail se diversifiaient. Le Noir de la maison comprenait mieux le maître que celui qui croupit dans les champs de canne à sucre. Ça parlait mieux du maître. Le discours avec les propriétés du maître tournait à "notre". Quand l'esclave au champ pense à la révolution, celui de la maison, de peur (peut-être) de perdre ses prérogatives, est prêt à tout pour le décourager ! Il sort le discours du genre "patientons, négocions, observons encore, réfléchissons bien etc.". L'esclave qui jouit (dans tous les sens du mot) plus du maître, qui fait le petit chien au maître et vit un peu mieux quotidienne-