Pourquoi un dialogue avec "une dictature" et pour quel ordre du jour? Pour Togoata Apedo-Amah, c'est par-là que devraient commencer les réflexions de "tous les opposants qui se sont précipités au-devant des désirs du clan Gnassingbé pour capter la lumière du vedettariat." Lire!
"Ceux qui font les révolutions à demi ne font que creuser leurs tombeaux" (l.a. saint-just)
A quoi sert le fameux dialogue entre la dictature criminelle et l'opposition ? S'est-on bien posé la question? Cette interrogation interpelle avant tout les opposants qui se sont précipités au-devant des désirs du clan Gnassingbé pour capter la lumière du vedettariat. Ont-ils oublié les exigences du peuple qui arpente inlassablement les rues de nos villes et hameaux, en y laissant souvent son sang, pour chasser Faure Gnassingbé du pouvoir avec ses complices usurpateurs civils et militaires?
Dans les points à discuter, nulle part je n'ai lu "départ immédiat du dictateur" Messieurs Dames les opposants, vous prétendez discuter au nom de qui? En votre nom, par appétit du pouvoir ? Osez le dire ouvertement.-