Démarré à 15 heures environ, le deuxième jour des négociations comptant pour le 27ème dialogue Inter-Togolais a été très bref. Le communiqué indique que les acteurs comptant la facilitation ghanéenne, le gouvernement togolais, UNIR et la coalition de l’opposition ont abordé avec "sincérité" «les questions constitutionnelles et évalué les mesures d’apaisement».
Cette "sérénité" ne convainc pourtant pas, vue l'atmosphère et le déroulement des événements ici à 2 février Lomé.
Juste ces points sans grand détails et d’annoncer que les pourparlers sont à nouveaux suspendus pour une «date qui sera décidée ultérieurement». En réalité, on ne s’y attendait pas plus, dès lors que seulement 41 des détenus politiques sur 45 promis par le gouvernement ont été libérés. L’oppsoition en réclame 102 et se fait intraitable, puisqu’ayant accepté de renoncer aux manifestations publiques jusqu’aux conclusions du dialogue.
Si les facilitateurs n’ont pas daigné en dire davantage, il était tout à fait prévisible que cette deuxième journée des pourparlers allait se heurter à des positions complexes.
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Fichier PDFA. Lemou
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