Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a fermement condamné l'attaque perpétrée la semaine dernière contre une école dans le nord-est du Nigéria et l’enlèvement d’écolières qui a suivi.
Le 19 février, plus de 100 écolières nigérianes ont été enlevées par des insurgés présumés de l’organisation terroriste Boko Haram lors d'une attaque contre un établissement scolaire de la ville de Dapchi, dans l'État de Yobe.
« Le Secrétaire général appelle à la libération immédiate et inconditionnelle de toutes les filles disparues et à leur retour en toute sécurité dans leur famille », a déclaré son porte-parole dans une déclaration à la presse publiée mardi soir.
L’attaque et l’enlèvement avait été condamnés la semaine dernière par le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) qui avait également appelé à la libération des écolières enlevées. La tragédie de Chibok
« Les attaques contre les écoles constituent une violation des droits de l'enfant et du droit international humanitaire. Les éc-