Le ridicule a perdu son couteau tranchant au Togo. Après les « centristes », le Groupe des républicains et écologistes du Togo (GRET) vient de voir le jour. En conférence de presse ce mardi à Lomé, ce regroupement de formations politiques, composé du Front national (FN) de Didier Améla, du Mouvement des républicains centristes (MRC) d’Abas Kaboua et de quatre (4) autres partis politiques inconnus du grand public, a décrété la « mort » du dialogue. Plus surprenant, ils convient tous les acteurs politiques aux élections.
Ces quatre autres formations sorties de nulle part sont : Parti pour le renouveau et le progrès social (PRPS) de Michel Mawu-Agbessi, Parti pour l’union et le développement économique et social (PUDES) de Binèzi Essoboziwè, Parti togolais pour la jeunesse (PTJ) d’Almeida Amagan, Parti écologiste panafricain (PEP) de Koffi Paley.
Le GRET, dirigé par Didier Améla, dit porter en lui l’espoir des Togolais « épris de paix et solidarité ». « Les Togolais vivent dans l’inquiétude et se posent des questions sur l’avenir. L’horizon semble obscur avec la hantise d’une impasse qui plongera le pays dans un gouffre si rien n’est fait », a déclaré Didier Améla.
Selon les nouveaux amis d’Abass Kabou, le dialogue inter-togolais est dans « une impasse ». C’est sans issue. Et ce, à cause des positions radicales des deu-