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Politique
Togo

La responsabilité de l’OIF, l’UE, la CEDEAO… dans la crise togolaise

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La situation sociopolitique du Togo serait tout autre (pas aussi dégradante inquiétante) si des institutions comme l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), l’Union Européenne (UE), la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’Union Africaine (UA), bref, la communauté internationale avait été ferme sur les graves irrégularités constatées lors des élections qui se sont déroulées au Togo. Au contraire, ces organismes ont toujours fait preuve de complaisance vis-à-vis du pouvoir de Lomé qui a fini par croire que les fraudes électorales font parties du jeu démocratique.

Depuis 1990, les élections ont toujours souffert de la transparence et de la crédibilité au Togo. Ces institutions le savent mieux que les Togolais eux-mêmes, puisque les nombreux rapports produits par leurs missions d’observation, qui sont encore consultables, font cas des anomalies lors de ces élections.

« L’Union européenne envoie toujours des observateurs touristes, qui ont dans leur PC, des phrases toutes faites pour empocher leurs perdiems et se tourner les pouces à l’hôtel. Tant pis pour le Togo ! La France, avec l’OIF, est plus pernicieuse encore », fait remarquer le Prof Kuakuvi Magloire.

En 2007, Mme Marie-Arlette Carlotti, à la tête d’une délégation du Parlement européen pour l’observation des élections législatives du 14 octobre 2007 au Togo, écrivait dans son rapport : « Pour des élections-











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