Après la mort du dictateur EYADEMA le 5 février 2005, tous les états-majors politiques se réunissent chacun pour analyser et arrêter des stratégie qui aboutissent premièrement a l’annonce par le premier ministre Koffi Sama la fermeture de toutes les frontières du pays. La première réaction internationale ne pouvant venir naturellement que de la France. Dans son message des condoléances, le président Jacques Chirac exprime sa « grande tristesse » et regrette la disparition soudaine « d’un ami de la France et un ami personnel ». Alors que la Constitution prévoit qu’en cas de vacance du pouvoir, « la fonction présidentielle est exercée provisoirement par le président de l’assemblée nationale », qui doit convoquer le corps électoral pour l’élection d’un nouveau président dans les 60 jours qui suivent la constata-