L'opposition politique institutionnelle la plus suffisante, la plus "cohérente dans son incohérence" et ses soutiens divers, viennent d'orienter le souverain, courageux et martyr peuple togolais d'Afrique vers une énième élection de légitimation du pouvoir en face.
Dans sa marche vers l'avant, cette opposition excessivement arrogante qui refuse d'écouter toute idée alternative, veut passer par une CENI "paritaire" organisée par le même système qu'elle dit combattre. Elle va, dans son excessive arrogance, déclarer que la lutte pour l'alternance se fait maintenant au sein de "cette institution." (On se demande quelle langue parlera Fabre, quand nommé président de la CENI, il sera appelé à proclamer le résultat de la prochaine élection, le couteau sous la gorge d'un système extrêmement brutal et violent ?) Clair ! Au lendemain du 20 décembre 2018, l'opposition dotera comme à son habitude, nos terres d'une assemblée globalement monochrome, tacheté de quelques éléments extérieurs bigarrés, profiteurs d'un système à renflouer les poches individuelles et proches, qui laiss-