En réunion ce dimanche, le bureau exécutif national du Pôle Unifié des Jeunes de l’Opposition (PUJO) a évoqué les cas de plusieurs responsables politiques, traqués, détenus voire contraints à l’exil . Dans une déclaration le regroupement politique des jeunes demande l’impartialité du pouvoir judiciaire, le dialogue sincère avec l’opposition etc. Lire la déclaration!
Le bureau exécutif national du Pôle Unifié des Jeunes de l’Opposition (PUJO) s'est réuni ce jour, dimanche 28 octobre 2018, à 18h, à son siège à Cotonou. Au menu, la répression et les représailles contre les voix critiques.
La persécution de certains responsables du PUJO dont Léonce Houngbadji (Coordonnateur national), Constantin Amoussou (Secrétaire à la communication, porte-parole) et Habib Ahandessi (Secrétaire à l'organisation et à la mobilisation) était donc au coeur des échanges.
Le niveau de persécution est tel que nombre de ceux qui ont organisé les "Initiatives locales" dans certaines communes pour dénoncer la gouvernance de Patrice Talon, ont critiqué le régime sur les réseaux sociaux, ont défendu les droits de l'homme, la démocratie et l’Etat de droit ou ont simplement exprimé des opinions l-