Le sélectionneur national du Togo aime tellement son métier qu’il ne pense pas, dans un futur immédiat, à la retraite malgré ses 70 ans. Il n’a pas encore qualifié les Eperviers pour la prochaine CAN qu’il pense déjà à l’édition de 2021.
Claude Le Roy, arrivé au Togo en avril 2016, missionné pour bâtir une équipe nationale solide et compétitive, est dos au mur, tout comme son groupe, les Eperviers, dans les éliminatoires de la CAN 2019 reprogrammée en Egypte après le retrait de la compétition au Cameroun pour retard dans l’exécution des travaux de construction des infrastructures. Le Togo (5 points) ne pourra prendre part à cette fête continentale qu’à une seule et unique condition : gagner les Ecureuils du Bénin (7 points) à Cotonou en mars prochain au cours de l’ultime journée des éliminatoires. Une opération délicate voire compliquée. Sur leur terre, les Béninois sont difficilement jouables. Ces derniers passent par tous les moyens (même les plus déloyaux) pour s’imposer. L’aventure du sélectionneur français pourrait s’arrêter au Togo s’-