C’était dans une atmosphère lourde que les fidèles catholiques ont rendu un hommage au Père César Fernandez samedi dernier à la Maison de Don Bosco à Akodessewa (Lomé).
Consternation, tristesse et pleurs ont pris le pas sur les chants et autres prières pour le repos de l’illustre disparu. Même ceux qui n’ont pas connu ce prêtre salésien, ont versé des larmes, rien qu’à écouter les témoignages, ses œuvres, surtout son attachement aux pauvres à qui il cherche toujours à donner du sourire.
« C’est un choc. Il a œuvré très fort au sein de la Province. Il vivait dans la pauvreté totale. Il préférait aller à pied que de prendre la voiture ou la moto. Il était très attentif aux pauvres et aux jeunes », confiait le Père Boris Togbé à nos confrères de RFI.
Le Père César Fernandez se rendait, vendredi 15 février dernier, avec deux autres prêtres, à Ouagadougou où sa communauté est installée. Sur le chemin, après avoir franchi la frontière entre le Togo et le Burkina Faso, ils o-