Honoré Blao ne dirige plus la Maison de la presse. Son contrat est fini et au terme de six (06) mois d’intérim, il a déposé la clé. L’institution est dans un état de délabrement. Pendant ce temps, le régime paie à coup de millions des pages dans le journal « Jeune Afrique ».
Qui pour succéder à Honoré Blao ? Cette question reste suspendue. Elle n’est même pas à l’ordre du jour. Puisqu’aucun appel à candidature n’est lancé depuis le départ du désormais ex-directeur. Diriger cette boîte ne semble pas l’objet d’une quelconque préoccupation. En tout cas, pour l’heure. Son administration bascule tantôt des mains de l’Observatoire togolais des médias (OTM)à celles du Conseil des patrons de presse (CONAPP) et au gré des sollicitations. Une gestion bicéphale qui n’est pas sans conséquence pour cette institution depuis le départ de Honoré Blao. Pendant ce temps, la Maison de la presse se meurt à petit coup, faute de soins appropriés et de financements de l’Etat.
La Maison du journalisme devenue Maison de la presse est dans un délabrement total. A l’intérieur, la crasse trouve son terr-