Depuis quelques mois, les activités du Parti national panafricain (PNP) sont systématiquement réprimées par les forces de l'ordre et des militaires. La dernière en date est la réunion hebdomadaire de ce parti empêchée samedi 17 août 2019 dans la partie septentrionale du pays. Cette situation fait réfléchir des observateurs qui s'interrogent sur cet acharnement du régime en place contre le parti de Tikpi Atchadam. Voici une réaction du Prof Ayayi Togoata APEDO-AMAH.
ACHARNEMENT CRUEL DE LA DICTATURE CONTRE LE PARTI NATIONAL PANAFRICAIN
Depuis plusieurs mois et, particulièrement, en cette année 2019, la cruauté du régime liberticide militaro-monarchiste a choisi comme objet de défoulement le PNP de Tikpi Atchadam. Quand ce ne sont pas les principaux Leaders qui sont embastillés, ce sont les réunions hebdomadaires des militants qui sont sauvagement dispersées à coups de bastonnades, d'arrestations, de gaz lacrymogènes ou autres traitements cruels, dégradants et inhumains. Atchadam a été contraint de choisir les sentiers caillouteux de l'exil pour sauver sa vie. Son domicile a été pillé et vandalisé à plusieurs reprises et ses occupants sauvagement molestés.
C'est inadmissible, inacceptable et lâche. Pourquoi le PNP fait-il si peur au pouvoir dictatorial ?