Les Fils et filles des préfectures de Dankpen et de Bassar à l’étranger dans une tribune ne décolèrent pas. Réunis au sein du "Mouvement de la Diaspora Bassar-Dankpen", ils dénoncent l’isolation dont sont victimes ces deux localités au Centre-Est, seulement sollicitées pour servir de bétail électoral sur fond de «marches de soutien» au pouvoir.
Dans un communiqué, les fils et filles de Bassar et Dankpen dans la diaspora, dénoncent le délaissement desdites localités depuis des décennies, de la gouvernance de Général Eyadéma à celle de son fils. «Bassar et Dankpen ont été laissés pour compte en termes d’infrastructures d’éducation, de santé, de formation professionnelle des jeunes ou de valorisation du patrimoine culturel» écrivent-ils.
Certains des rares investissements sociaux entrepris par des expatriés ou des fils de la localité pour fournir de l’eau potables, des soins de santé, la formation des jeunes ou de l’électricité à la population ont été détournés pour le canton de Pya selon la déclaration qui ne manque pas d’attirer la vigilance de l’opinion sur le fait que quelques «personnalités sombres desdites localités aient été associées par -