Le président du Parti national panafricain (PNP) a voulu prendre part aux travaux du dialogue en cours à Lomé. Mais l’opposant n’a pas pu obtenir la garantie pour sa sécurité.
Tikpi Atchadam, l’homme qui a donné de la vigueur à l’opposition togolaise, ne participe pas au 27è dialogue intertogolais qui a débuté le lundi dernier à l’hôtel 2 Février à Lomé. Depuis le début des manifestations populaires pacifique qu’il a enclenchées le 19 août dernier, sa vie est en danger.
Celui qui est devenu l’opposant qui fait peur à Lome II «avait demandé une protection pour assurer sa présence, car craignant pour sa sécurité», précise La Lettre du Continent dans sa livraison N°771 du 21 février 2018.
Vivant actuellement à Accra au Ghana, le même site d’informations ajoute qu’il «n’a pas davantage obtenu l’autorisation togolais de revenir dans son pays entouré de gardes du corps ghanéens comme il avait également proposé ».
C’est donc depuis la capitale ghanéenne que ses représentants lu-
