Affaire de notes manipulées, grève sèche des enseignants et des médecins, occupent de bonnes places dans les parutions de ce matin.
« Société civile/Décapitation des proches de l’opposition : Après les membres de Nubueke, le Prof David Dosseh… à qui le tour ? », se demande Liberté.
Le quotidien écrit qu’ « ils sont libres, les « otages du SRI ». Le Professeur Majesté Ihou Watéba et les deux étudiants qui se sont vu signifier, tard dans la nuit de lundi à mardi, la levée de leur garde-à-vue ou plutôt de leur prise d’otage. Loin d’être fortuites, ces manœuvres cachent simplement une stratégie secrète de décapitation de la société civile proche de l’opposition. Et après les cas des membres de Nubueke et de David Dosseh, à qui le tour ? ».
L’auteur dans son analyse aboutit à la conclusion suivante : « Couper tous les soutiens potentiels dans les rangs de la société civile à la Coalition de l’opposition, voilà le dessein secret du régim-