Le sujet fait la une des débats depuis hier soir sur les réseaux sociaux et dans les médias. En Assemblée Générale constitutive du nouveau parti unifié, le Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP) à Abidjan, la capitale économique de la Côte d'Ivoire, le président Alassane Ouattara a renoncé à son idée de briguer un nouveau mandat à la tête de l’Etat ivoirien en 2020.
« La France a aujourd'hui un président qui a 40 ans, je ne dis pas que je suis vieux mais cela donne à réfléchir. Le monde change », a déclaré le président de la Côte d’Ivoire. Ces propos -aux allures ordinaires- tenus par le chef de l’Etat ivoirien disent beaucoup de choses. Surtout quand l’homme d’Etat précise qu’il veut donner la chance à la nouvelle génération de faire ses preuves aux prochaines échéances électorales en 2020.
Au Togo, l’on espère fort bien cette « bonne nouvelle » qui démontre à suffisance la bonne volonté et le sens d’une culture d’alternance politique du côté de nos voisins de l’ouest.
Ce devrait être une « bonne nouvelle » si c'était au Togo, surtout que le pays traverse actuellement une crise dont la seule et unique racine demeure Faure Gnassingbé, le plus « simple » des Togol-