Ce jeudi, plusieurs parutions à la Rédaction de iciLome. Liberté, La Nouvelle Tribune et Le Potentiel reviennent essentiellement sur la mort d’Atsustè Agbobli et la profanation des mosquées.
« Atsutsè Agbobli, jeunes élèves tués à Dapaong, morts de 2005… Une collection de crimes impunis sous Faure Gnassingbé», titre Liberté à la Une.
Mercredi 15 août 2018, 10 ans, jour pour jour, que l’historien, journaliste et politologue togolais Atsutsè Agbobli est retrouvé mort sur la plage de Lomé et aucune enquête n’a pu élucider les circonstances de son décès.
Hier sa famille s’est souvenue de lui lors d’une messe, mais jusqu’ici ces questions demeurent « est-il mort par intoxication médicamenteuse? Par noyade? Par suicide? Par assassinat? ». Et la parution de couper sèchement : « Mais personne n’est dupe, l’historien, journaliste et homme politique a été manifestement assassiné, lorsqu’on prend en compte tout le cirque ayant entouré cette affaire visant à étouffer la vérité ».