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Politique
Togo

Boukpessi rattrapé par les turpitudes du pouvoir

Le Correcteur

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A beau mentir qui vient de loin, dit-on. Tout porte à croire que cet adage populaire est fait pour le pouvoir de Faure Gnassingbé. Un pouvoir qui a tourné dos à l’essence de la politique, la gestion de la cité, de la chose politique. Sans vergogne, les figures qui incarnent ce régime s’accommodent de toutes ignominie et énormités.

Sur une chaine béninoise en fin de semaine dernière, Boukpessi Payadowa a poussé plus loin le curseur dans le sens de la contre-vérité. « Le code électoral est très clair. On ne peut pas renvoyer quelqu’un. On ne peut quitter la Céni qu’à la fin du mandat ou en cas de démission. Tant que l’UFC ne démissionne pas, il est impossible d’intervenir et l’Assemblée nationale n’a pas le droit de s’immiscer », a-t-il déclaré. En fait, la déclaration de l’éternel ministre depuis 1992, est une vérité.

Le code électoral n’autorise pas le renvoi des membres élus de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI). Mais la jurisprudence de 2015 confond l’ancien opposant au régime au début des années 90. On se rappelle en pleine crise électorale de la présidentielle de 2015, Francis Pedro Amuzun, Patrick Atantsi, -











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