« Monsieur le Premier ministre, j’ai suivi attentivement, votre déclinaison de ce qui est notre vision commune, que vous avez la lourde responsabilité de mettre en musique.
Ce n’est pas le rêve d’un Mali grandiose éthéré, mais il s’agit pour l’essentiel d’actions identifiées, déjà étudiées ou sur le point d’être achevées, d’être étudiées, dont les financements également sont ou acquis ou sur le point de l’être, bref c’est la préfiguration de ce qui va être à partir de janvier 2019.
C’est bien pour ça que nous avions dit sans prétention saugrenue que le Mali, notre pays avance. Le Constat si l’on veut être de bonne foi est d’évidence, ce n’est pas tant parce que nos amis des institutions de Bretton woods, Banque mondiale, Fonds monétaire international l’ont attesté, que chacun également pour peu qu’il s’en donne la peine est capable de le mesurer au quotidien.
Monsieur le Premier ministre, vous êtes arrivé dans des conditions difficiles, singulières, j’ai failli dire scabr-