Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, s’est dit attristé par les pertes en vies humaines, les destructions de biens et les déplacements de populations dus aux fortes pluies et aux inondations causées par le cyclone Idai qui a frappé le Zimbabwe, le Mozambique et le Malawi.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, le cyclone a touché la côte est-africaine près de la ville de Beira, au Mozambique, puis s’est transformé en tempête tropicale et a poursuivi sa trajectoire au Malawi et au Zimbabwe voisins.
Selon les dernières informations dont disposent le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies (OCHA) dimanche, au moins 31 personnes sont mortes au Zimbabwe et 100 autres sont portées disparues. Le Président zimbabwéen, Emmerson Dambudzo Mnangagwa, a déclaré un état de catastrophe dans le pays.
« Les Nations Unies expriment leur solidarité avec les autorités du Zimbabwe et se tiennent prêtes à travailler avec elles pour répondre aux besoins humanitaires résultant de cette catastrophe », a dit le porte-parole du Secrétaire général de l’ONU, Stéphane Dujarr-