On croyait que c’est autour des conditions de transparence et d'équité, notamment la recomposition de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), la Cour constitutionnelle, la HAAC, etc. que le pouvoir a invité l’opposition pour des discussions cet après-midi.
Le ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et des Collectivités locales, Payadowa Boukpessi, à en croire les responsables du Comité d’action pour le renouveau (CAR), a fait croire à l’opinion que le régime a accédé aux revendications de l’opposition qui appelle à un dialogue autour des conditions de transparence du processus électoral. Mais il en est rien.
« Le Président national du CAR, intervenant au nom de sa délégation, s’est étonné que dans l’ordre du jour d’une réunion d’un tel niveau de composition, il ne soit inscrit l’examen d’aucune des revendications que les partis d’opposition et les organisations de la société civile ont formulées au sujet des conditions de transparence et d’équité du scrutin en question, notamment à propos de la composition de la CENI et de ses déme-