Laids, ceux pour qui la population est une vache à lait, ni plus, ni moins.
Laids, les membres de cette clique mal élevée, à l’affût de cet aliment malhonnêtement gagné.
Laides les hordes endiablées, déchaînées, telles des molosses de malheurs, légions devenues légendaires dont l’existence personnifie la brutalité, entrant dans les domiciles, pénétrant dans tous les vestibules, tous les salons, toutes les salles, mettant sens dessus, dessous meubles et ustensiles de cuisine, renversant les lits, saisissant et liant tous ceux qui courent se cacher sous les matelas, dans les coins de toilettes, les rouant de tous les coups dont ils sont capables, eux les malheureux dégoulinant de tout ce que l’on peut imaginer. Coupables ces militaires-miliciens-déclarés « Ligue Nationale d’Autodéfense » en délire ? Ja-