Depuis quelques jours, une information circule sous les manteaux de certaines autorités. Elle fait état de ce que le gouvernement envisagerait de libérer les élèves du primaire et du secondaire du 22 février au 3 mars 2020 pour un curieux congé de détente.
Bien qu’elle reste pour le moment officieuse, certains directeurs d’école mis dans la confidence le confirment, mais semblent incapables de convaincre sur l’utilité de ce congé forcé qu’on s’apprête à donner aux élèves du 22 février au 3 mars 2020.
Le timing choisi n’est guère fortuit. Cette décision, si elle devient une réalité, aurait été prise pour une cause électorale, le premier tour du scrutin présidentiel étant fixé au 22 février prochain. Cela signifierait qu’il y aurait quelque chose qui devait inciter à ce que les apprenants restent chez eux pendant et après le vote ?
C’est la question que certains n’hésitent pas à se poser après avoir appris cette idée actuellement mûrie dans les couloirs de l’inspection de l’éducation nationale.
« On sait que certains enseignants, directeurs d’école vo-