La situation politique dans notre pays est rendue difficile par l'intrusion des considérations religieuses dans la lutte pour le changement démocratique, la division de l'opposition et son affaiblissement suite à sa participation aux présidentielles pipées d'avance le 22 février 2020.
Le 22 février au soir, avant même l'annonce officiel des résultats, le candidat Agbéyomé s'est auto proclamé élu dès le premier tour, comme s'il croyait que la CENI et la Cour constitutionnelle n'allaient pas lui contester cette victoire au profit de Faure Gnassingbé. Ce n'est pas surprenant. Comme tout le monde s'y attendait, Faure s'est encore attribué la victoire comme d'habitude, et l'on se demande par quelle opération du saint esprit l'opposition pourra inverser les résultats truqués d'avance et prendre le pouvoir.
Qui pouvait imaginer le contraire, et croire que dans le contexte togolais, les élections pourraient donner l'opposition gagnante, et lui permettre de prendre le pouvoir pour organiser" une transition pacifique" dans le pays ?
Pourtant, l’opinion avait été prévenue. Notre parti, par ex-