Un autre fléau, plus grand que le coronavirus, est en train de gagner les contrées de la capitale. Sur certaines images publiées sur les réseaux sociaux, on aperçoit des femmes en train de laver des bavettes hors d’usage, probablement recyclées dans les rues et dans les marchés afin de les revendre. Il s’agit d’une pratique dangereuse qui devient courante chez ces bonnes dames et qui doit interpeller les autorités sanitaires.
Le danger que font courir ces femmes à l’ensemble de la population est énorme. Leur simple contact avec ces masques de protection (cache-nez), est source de contamination qui pourrait, au passage, impliquer une longue chaîne de personnes infectées par non seulement le coronavirus (si on peut le dire ainsi), mais aussi des maladies microbiennes.
Une situation qui, vraisemblablement, pourrait mettre à mal, l’efficacité des mesures de riposte contre le coronavirus.
Plusieurs interrogations sur les conditions de recyclage de ces masques de protection déjà utilisées peuvent mieux situer les responsabilités. Comment sont gérés ces masques après usage ?
Nombreux sont ceux qui tentent de trouver une réponse à cette interrogation. « La plupart de ces bavettes sont recyclées des fois par terre dans les rue-