Le combat pour l’alternance politique au Togo a encore de beaux jours devant lui. Les forces démocratiques du pays ne peuvent pas attester le contraire. Depuis des décennies, le Togo ne cesse de sombrer dans de crises socio-politiques. Les rendez-vous électoraux n’ont toujours rien donné. La déshumanisation de citoyens, l’impunité, le pillage systématique des ressources du pays et la terreur érigés en mode de gouvernance sous le régime de Faure Gnassingbé interpellent toutes les consciences. Et c’est justement face à ce tableau sombre que le mouvement « La Patrie d’Abord » a été porté sur les fonts baptismaux le samedi 11 juillet 2020 à Lomé.
La sortie de ce « nouveau bébé » a été faite en présence des acteurs politique et de la société civile. Sur la liste des présents à cette cérémonie du lancement du mouvement « La Patrie d’Abord » figurent Me Dodji Apévon des Forces démocratiques pour la République (FDR), Nador Awuku du Comité d’action pour le renouveau (CAR), Gnimdéwa Atakpama du Parti des Togolais, Prof. David Dosseh du Front Citoyen Togo Debout (FCTD).
Loin d’être un parti politique, le Mouvement « La Patrie d’Abord » est une organisation de la société civile qui vient changer le paradigme. Le mouvement se positionne comme un creuset devant œuvrer pour une action collective de tous les acteurs pour un Togo nouveau.
A en croire son Coordonnateur, Gérald Akoumey, l’heure n’est plus à la politique spectacle, mais au concret. Il est t-