Il est connu de tous qu'au Togo, l'impunité est devenue le quotidien des populations, avec des crimes et assassinats dont les auteurs courent tranquillement les rues. La situation exaspère des organisations de la société civile qui montent au créneau.
Déclaration liminaire
Autorités administratives, politiques, religieuses et judiciaires, Responsables de tous les partis politiques, Responsables des organisations de la société civile togolaise, Citoyennes et citoyens togolais,
« La personne humaine est sacrée et inviolable » article 21 de la Constitution Togolaise
Depuis des années, les organisations de défense des droits de l'homme demandent aux autorités togolaises de mettre fin à l'impunité en veillant à ce que les plaintes relatives à des violations des droits humains fassent l'objet d'une enquête et que les auteurs soient tenus responsables après des procès équitables. Depuis 2005, des acteurs de la société civile, des organes de protection des droits de l’Homme des Nations Unies et d'autres acteurs pertinents, se sont succédés pour c-