A l’Union des forces de changement (UFC), le linge sale se lave désormais en public. Le patriarche Gilchrist Olympio, fatigué par l’âge et par, probablement, les ennuis de santé, reste impuissant alors que son navire prend de l’eau.
Timothée Ayekomon, un militant qui se revendique plusieurs décennies de militantisme au sein de ce parti avait, il y a quelques semaines, écrit une lettre au président national de l’UFC. Dans le courrier, son auteur pointe du doigt les problèmes auxquels est confronté aujourd’hui le parti autrefois très populaire dans le pays. Le militant attire, par exemple, l’attention de Gilchrist Olympio sur le cas du député Séna Alipui qui, selon lui, s’est transformé en pur défenseur du parti au pouvoir.
« Ce monsieur s’est érigé en avocat défendeur de l’UNIR. Il faut vous rappeler sa défense de la reconnaissance du mariage homosexuel au parlement et puis la défense du crime économique commis par la famille ADJAKLI. Nous attirons votre attention particulière sur ce dossier qui défraie la chronique au Togo. Dans -
