Une dictature ne s'appelle pas dictature pour rien. La nocivité ou la dangerosité d'une dictature comme celle incarnée aujourd'hui par Faure Gnassingbé au Togo ne se désagrège pas comme ça en un tour de passe passe. Comme s'il en était encore besoin, l'affaire qui oppose Fabrice Adjakly, dénommée "Pétrolegate" au bi-hebdomadaire "L'Alternative", vient, par la condamnation du journal et de notre confrère Ferdinand Ayité, malgré les preuves accablantes contre les Adjakly, de nous renvoyer au visage comme un miroir, la triste réalité de ce que c'est qu'une dictature, surtout celle que nous vivons au Togo, où seule l'évocation du mot Justice est une insulte au droit, à l'honneur et à la vie des citoyens.
Ils sont légion ces faits d'armes de ce régime viscéralement méchant contre le peuple togo-