Membres du « Partenariat de Ouagadougou », la Côte d’Ivoire, le Mali, le Sénégal et le Togo Bénéficient, afin de renforcer leur système de santé reproductive, d’un appui de 55 millions de dollars du Canada.
Karina Gould, la ministre canadienne du Développement international l’a précisé, ce mardi 15 décembre 2020, à l’ouverture de la session annuelle de « Partenariat de Ouagadougou ».
L’enveloppe est destinée à « contribuer à éliminer les barrières à l’accès aux services de santé et des droits sexuels et reproductifs », souligne M. Gould, ajoutant que ce financement permettra à une dizaine de millions de femmes et de filles de « faire des choix éclairés concernant leur santé » à l’horizon 2030.
Au Togo, selon le Professeur Moustafa Mijiyawa, le ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de l’Accès universel aux soins, « la planification familiale est devenue une composante majeure des politiques ayant pour socle la santé de la mère et de l’enfant ». En la matière, son pays a vu son taux de planification familiale augmenté, entre autres.
Le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal et le Togo sont membres de Partenariat de Ouagadougou créé en 2011. Son objectif, augmenter le taux de planification familiale dans le paysage économique et social du pays, accélérer la mise en œuvre de stratégies de planification familiale dans chaque Etat membre, etc.
A.H.-
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