Depuis décembre dernier, le Togo dispose d’un nouveau code de travail. Le texte actualisé est plus qu’une nécessité pour le pays, insiste le porte-parole de la Coordination des centrales syndicales du Togo.
Le nouveau code de travail comporte 378 articles. Il remplace l’ancien qui date de 15 ans et vise à « rendre plus lisibles et claires les dispositions majeures dans ce domaine, tout en étant plus favorable aux investissements », explique le gouvernement.
Ledit document reste « avant-gardiste », justifie Gilbert Bawara, le ministre de la Fonction publique, du Travail et du Dialogue social, parce qu’il renferme, à l’en croire, « des innovations majeures », garantissant « un équilibre judicieux entre les aspirations et les attentes des travailleurs d’un côté, mais également les besoins des entreprises et des employeurs ».
Quelques semaines après son adoption à l’Assemblée nationale, Mokli Ephrem Tsikplonou, le porte-parole de la Coordination des centrales syndicales du Togo (CCST), en fait sa lecture. Et -