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L’UNESCO souligne la fragilité de la liberté de la presse face au COVID-19 en 2020

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L’UNESCO a condamné le meurtre de 59 professionnels des médias en 2020, dont quatre femmes. Avec 22 meurtres, les régions Amérique latine Caraïbes et Asie-Pacifique en enregistrent le plus grand nombre, suivies par celle des États arabes avec neuf et l'Afrique six. Dans l'ensemble, l'année 2020 a été marquée par l'un des bilans les plus bas enregistrés par l'UNESCO dans la dernière décennie, au cours de laquelle 888 journalistes et travailleurs des médias ont payé le prix ultime pour informer le public. En 2019, l’UNESCO avait condamné les meurtres de 57 journalistes, 99 en 2018.

"En 2020, nous avons été les témoins, peut-être de manière inédite, de l'importance du journalisme pour nos démocraties et pour la protection des droits de l'homme. Toutefois, la pandémie a également été une ’’tempête parfaite’’ qui a affecté la liberté de la presse dans le monde entier. À l'aube d'une nouvelle année, j'appelle toutes les parties prenantes à défendre l'information en tant que bien public. Protéger le journalisme, c'est protéger la vérité".
Audrey Azoulay, Directrice générale de l’UNESCO

Le rapport 2020 de la Directrice générale de l'UNESCO sur la sécurité des journalistes et le danger de l'impunité, publié à l'occasion de la Journée internationale de la fin de l'impunité pour les crimes commis contre les journalistes (célébrée le 2 novembre), donne un aperçu des tendances s’agissant des -


L'AUTEUR
UNESCO









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